Le Retour DUne Orgie 07 - La Métamorphose
Le retour dune orgie 07 - LA MÉTAMORPHOSE
La partie se poursuit avec larrivée de Roland, lamant de Katte qui ne manque pas dhonorer lamie de sa maîtresse. Enfin les deux couples se mélangent dans une orgie incroyable.
Il est plus de deux heures du matin lorsque nous sommes de nouveau dans la voiture qui nous ramène à notre appartement. Je conduis silencieusement, alors qu'Angel reste prostrée sur le siège qu'elle a basculé en arrière.
Elle éprouve certainement un peu de vague à l'âme, car cette soirée peu commune vient d'être pour elle une révélation troublante et une nouvelle grande étape dans sa vie de femme. Elle vient de faire l'amour avec Katte sa meilleure amie, puis avec un inconnu de passage, enfin avec Roland le petit ami de Katte, un garçon qui vient tout juste d'avoir vingt-trois ans. En prime son mari a pu également la baiser pour la première fois depuis presque quatre ans. Il y a vraiment de quoi être perturbée.
Pour essayer de la décontracter je glisse une main sous sa robe, la plongeant dans son entrecuisse. Aussitôt elle resserre ses jambes sur ma main, m'empêchant d'aller plus haut et proteste.
Je t'en prie arrête ! L'orgie de cette nuit ne t'a pas suffi ? - Tu te rends compte de ce que tu mas fait faire. - Je ne m'offusque habituellement pas facilement, mais avoue que tu m'as entraîné dans une vraie partouze, ce dont tu rêvais depuis très longtemps je le sais ! - Et avec Katte et Roland par-dessus le marché. - Jamais plus je ne pourrai les revoir, j'en mourrais de honte. - Oh ! Mon Dieu quelle déchéance.
Je crois que tu exagères. - Je t'ai vu prendre ton pied comme tu ne l'as jamais pris avec moi. - Tu t'es gouinée avec ta copine qui a l'air de connaître la chanson et tu n'as pas été en reste. - Je ne te fais aucun reproche, je trouve même que vous étiez admirables toutes les deux dans vos jeux saphiques.
Angel est apparemment décontenancée. Elle ne veut certes pas me donner raison, ce serait trop facile, mais, avec toute son intelligence, elle réfléchit sans doute aux arguments que je viens de lui asséner. Elle pousse un gros soupir, signe perceptible de son relâchement, puis elle entrebâille ses cuisses, laissant ma main atteindre sa culotte, se soulevant même à demi pour me permettre de la lui retirer, enfin elle s'ouvre entièrement sous mes doigts qui glissent sur sa vulve.
Elle se rapproche de moi, tend la main vers mon pantalon et presse ma verge à travers le tissu. Finalement elle ose faire descendre la fermeture de la braguette, infiltrant la main dans mon caleçon et tirant sur la verge qui surgit à l'air libre. Imprudemment, je fais faire un brusque écart à la voiture sous la caresse inhabituelle de mon épouse.
Je savoure cet instant magique, où, tout en conduisant, les doigts féminins palpent ma queue qui enfle à vue d'il. Je titille le clitoris de mon épouse que j'ai saisi entre deux doigts, la faisant tressaillir visiblement, alors que sa robe s'est retroussée jusqu'au ventre. Elle ne peut que se laisser faire à présent, car jai fait basculer son siège à demi et elle se retrouve plaquée contre le dossier par sa ceinture de sécurité. Son ventre se soulève spasmodiquement sous la caresse insidieuse de mes doigts, alors que les protestations qu'elle articule ne sont que pour la forme.
Non ! Je t'en prie.
Enfin elle ne proteste plus. La jouissance qu'elle éprouve lui a fait perdre le peu de raison qu'elle avait encore. Nous sortons à ce moment du périphérique, nous nous engageons sur les grands boulevards et nous sommes arrêtés par un feu rouge. Il y a peu de circulation à cette heure de la nuit, mais une grosse moto chevauchée par un couple vient s'arrêter à notre hauteur.
Le garçon et la fille qui la montent n'en reviennent pas de découvrir Angel, étendue à moitié nue, qui se fait masturber ainsi. Je les regarde avec un petit sourire et je leur fais même un clin d'il. Le garçon fait un signe de la main le pouce levé en l'air. À cet instant, mon épouse ouvre les yeux et distingue les deux têtes penchées vers elle en train de l'observer. Elle essaie bien de se redresser, mais elle n'y arrive pas. Le feu passe au vert et je démarre lentement. La moto reste à notre hauteur, le couple se régale de voir cette bourgeoise les cuisses grandes ouvertes qui s'offre impudiquement à leurs regards ébahis.
Angel, rouge de honte, ne se débat plus, ayant constaté qu'elle se dénudait encore plus en s'agitant inutilement. Je continue pourtant à astiquer sa moule qui s'agite furieusement sous mes doigts inquisiteurs, alors ne se dérobant plus aux yeux qui la scrutent, elle s'abandonne, cédant bruyamment à la houle qui déferle en elle.
- Oh ! Non ! Pas devant des gens ! Ah ! Aaaaahh !.... Noon !..... Nooooon !..... Oh ! Tu es un salaud ! Oh ! Oh ! Oh !.........! Oui ! Oui ! Oui ! Ouiiiii ! Ouiiiii ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiii.... Encore ! Encore !... Encore ! Ouiiiiiiiiiiiiii......... Aaaaaaaaaahhhh !.........
Elle se laisse aller dans un délire voluptueux, ayant encore une fois abdiqué, et elle se soumet à ma volonté perverse. À ce moment, les deux motards me distancent de quelques mètres, puis, se laissant rattr jusquà la hauteur de ma portière, le conducteur me fait signe de baisser ma glace.
- Bravo pour le spectacle. Si vous avez envie un jour de partenaires, mon amie et moi serions d'accord pour un mélange. O.K. ? Salut mec !
Lorsque je gare la voiture dans le parking et que j'arrête le moteur, mon épouse me contemple d'un regard torve. Je comprends que je suis allé un peu loin pour cette fois. Je lui ouvre la portière et je l'aide à sortir de l'automobile. Elle ne tient plus sur ses jambes, fourbue par cette nuit de débauche et par la dernière folie dans laquelle je viens de l'entraîner. Elle s'appuie sur moi, toute chancelante, je la prends dans mes bras, l'embrasse tendrement en essayant de la consoler.
- Tu as été formidable. Je suis très fier de constater que tu puisses jouir autant. Nous allons commencer une nouvelle vie mon amour. Dis-toi bien que c'est notre dernier parcours et qu'il est grand temps d'en profiter pendant que nous le pouvons encore. Après il sera trop tard.
Elle reste silencieuse, ne répondant pas à mon plaidoyer. En se laissant emmener vers notre appartement, elle médite sans doute sur mes propos qui, je l'espère, vont faire leur petit chemin dans sa tête. Il est déjà presque trois heures du matin lorsque nous nous écroulons, terrassés par le sommeil. Angel ne m'en veut certainement plus, car elle s'est pelotonnée dans mes bras, ses derniers mots ayant été avant de s'endormir.
- Tu m'aimes toujours dis ? Tu ne me quitteras pas mon amour ? Jure-le-moi!
Je lui donne un dernier baiser et m'endors comme une masse, rassuré sur la suite que je compte donner à nos nouvelles relations sexuelles. ..
À suivre
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